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Joyeux Bazar, le média de la double culture

Vous vous intéressez aux mélanges de cultures et aux frictions de l’Histoire ?
Vous aimez les questions de transmission, de racines et d’hybridation ?
Vous êtes au bon endroit.

Joyeux Bazar explore les origines emmêlées avec nuance, et sans s’interdire une forme de légèreté. Car avoir un pied ici et l’autre ailleurs, c’est complexe, parfois terrible mais souvent aussi joyeux et inattendu…
On rit, on pleure, on s’étonne, bref, c’est le bazar, mais c’est ça qui est bon !

heures d’échanges à lire et écouter pour nourrir sa réflexion sur les hybridités culturelles et la différence !

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newsletter mes cheveux poussent

« Nous sommes les pairs de ceux qui veulent bien se reconnaître en nous. Donc j’ai toujours ce souci d’adaptation, je suis un caméléon. Je vais essayer de m’adapter pour qu’une émotion soit créée, un lien. »

Stéphane, épisode 10

« La transmission, il faut tout un village. Ma famille en Ukraine ne parle que russe et ukrainien, donc ça s’arrête avec moi, mon fils ne sera pas capable de communiquer avec eux. C’est une responsabilité énorme. »

Koussée, épisode 41

Sorry, No posts.

Il y a tellement de sujets : le prénom des enfants, les interdits alimentaires, l’éducation religieuse, les relations avec les belles-familles, la cérémonie du mariage, les pressions familiales

Extrait de l’article Le GFIC, pour aider les couples musulmans-chrétiens à s’aimer

nationalités et cultures représentées dans notre podcast

Question : Ce fameux métissage, génétique ou culturel,
qu’est-ce qu’on y gagne, qu’est-ce qu’on y perd ?

Réponse : Ça dépend…

 

Question : C’est quoi, nos racines, qu’est-ce qu’on peut transmettre, comment les autres nous perçoivent, quel impact sur nos choix de vie ?

Réponse : Ça dépend…

 

Question : La double culture c’est bien gentil, mais comment
devient-on soi-même dans tout ce bazar ?

Réponse : Ça dépend…

 

Ce média s’intéresse à une espèce fort intrigante, les multiculturel-les.

Posez-nous une question, on ne sait jamais quelle partie de nous va répondre.

Nous sommes des acrobates du “ça dépend”

 

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